Comment analyser un site ? Faire un état des lieux SEO

« Non, mais moi, la fame, je m’en fous. Je tiens mon site pour moi, tant pis si personne ne me lit. »

Oui, Jean-Michel Mytho, on te croit. 

On peut tenir un site pour soi, bien évidemment.

Mais ça fait quand même plaisir d’avoir au moins un lecteur qui s’intéresse à ce qu’on dit.

Au fond, on recherche tous un peu la fame. Et c’est aussi le cas de Jean-Michel Mytho, même s’il ne l’avouera jamais.

Mais parfois, peu importe à quel point ta plume est jolie et tes mots sont doux, tu n’arrives pas à percer. Et ce n’est pas de ta faute : ça arrive même aux meilleurs.

Il faut juste reprendre quelques bases et revoir certains éléments que tu pourrais mieux faire. Cependant, ces éléments, il faut avant tout les identifier

Alors, comment sait-on par où commencer, pour améliorer la visibilité de ton site/blog/journal intime virtuel ?

La réponse est simple : on analyse ton site. Ce qu’on appelle faire un état des lieux SEO. Allez, je t’explique.

Un état des lieux SEO ? Ça sert à quoi ?

L’état des lieux SEO, ça consiste globalement à faire une analyse de ton site pour identifier ce qui ne va pas, ce qui ne plaît pas, et ce que tu peux mieux faire. Un peu comme une auto-remarque constructive.

Grâce à l’état des lieux, tu vas donc prendre en considération de nombreuses données, afin de déduire :

Entre ton positionnement sur les moteurs de recherche, la sensibilité de ton public à certaines de tes publications et tes perfs par rapport à tes concurrents : on prend tout en compte.

Comment faire un audit SEO de ton site ?

Ça paraît gros, dit comme ça. Mais en réalité, faire un état des lieux SEO, ce n’est pas si compliqué que ça. 


Comme toujours, il faut juste un peu de patience, de l’huile et de coude, et parfois des logiciels. Étape par étape, tester son référencement SEO, ça donne ça !

Demander à Google Analytics

Première chose : tu demandes gentiment à Google Analytics ce qu’il pense de toi. C’est un peu le Dieu de la visibilité, parce qu’il peut te donner des KPI (des indicateurs clés) très importants. Notamment sur :

Le taux de rebond ? C’est quoi ?

Le taux de rebond, c’est quand un internaute se rend sur ton site et n’en visite qu’une seule page avant de la quitter. Autrement dit : soit il n’a pas trouvé ce qu’il cherchait, soit il a trouvé beaucoup trop vite sa réponse.

Google Analytics pourra donc te donner une première idée des performances de ton site internet. Et il peut t’aider à y voir plus clair sur une question qui peut faire mal : est-ce que les internautes aiment ce qu’ils trouvent sur ton site ? 

Vérifier que toutes tes pages sont bien indexées

Une fois que tu as vérifié tes KPI, tu as déjà pu identifier s’il y a un problème ou pas. Si tu attires très peu de visiteurs avec un taux de rebond au plafond, alors que tu publies régulièrement et que tu t’appliques dans le référencement naturel de ton site, il va falloir revoir ta stratégie.

La première chose à faire, c’est de demander à Google (eh oui, encore lui !) si toutes tes pages sont bien indexées.

Par « indexées », je ne veux pas dire qu’elles sont visibles par les internautes. Mais qu’elles sont visibles par les algorithmes des moteurs de recherche.

C’est une manipulation très simple. Tu tapes :

site:tonnomdedomaine.fr

Et Google te met sur une page de résultats de recherche. Normalement, sur cette page tu as touuuutes les pages de ton site web qui s’affichent.

Du moins, toutes celles qui sont indexées.


Si tu vois qu’une page manque, c’est qu’elle n’est pas indexée : donc Google ne la prend pas en compte, ce qui veut dire qu’elle ne peut pas être proposée dans les SERPs. Et ça, ce n’est pas top pour le référencement.

Analyser ton positionnement sur les mots clés 

Là, on part sur un côté un peu plus « technique » de l’analyse d’un site web SEO. Il s’agit de vérifier comment tu te positionnes sur les mots clés. 

En vrai, ce n’est pas si compliqué que ça. Grâce à des logiciels comme Ranxplorer, tu peux voir sur quels mots clés sont positionnées tes pages, et en quelle position.

Par exemple, si tu tiens un site sur les recettes à base de courgette (j’avoue : cet exemple me vient à l’esprit parce que j’ai un petit creux), tu pourras entrer l’URL de ta page principale dans Ranxplorer.

Et là, tu pourras voir en quelle position tu ressors sur le mot clé « recette courgette ». 

Si c’est un bon score, chapeau bas ! Continue comme ça.


Mais si tu sors à la 666e page de Google, il y a encore du travail.

De la même manière, si tu ressors sur un mot clé qui n’a rien à voir (par exemple sur « recette poivron » parce que tu as rédigé un article sur le mélange douteux poivron courgette), ce n’est pas bon.

Tout simplement parce que les internautes qui vont atterrir sur ta page ne vont pas être intéressés par tes recettes de courgette, vu qu’ils ont tapé « recette poivron ». Tu vois la logique ?

Jeter un œil à l’optimisation des balises

Dans la suite de ton analyse de référencement du site, tu peux vérifier l’optimisation de tes balises : title, méta, H1, H2, H3… 

Prends le temps de checker que ces balises HTML contiennent ton mot clé principal, voire un mot clé secondaire si tu as la place. Ça peut changer beaucoup de choses du point de vue de ton positionnement, comme ce sont des zones chaudes.

Le petit + :

Les zones chaudes, ce n’est pas les Îles Canaries (désolée de te décevoir). 

C’est simplement les zones que Google considère comme importantes, car ce sont les premières que l’internaute voit sur ton site. Google récompense donc les zones chaudes qui sont optimisées, car elles apportent des réponses concrètes aux internautes.

Contrôler la navigation offerte par ton site

Tu es déjà allé jeter un œil sur ton site en tant qu’internaute ? Si la réponse est non, c’est le moment où jamais !

Tu vas peut-être te rendre compte que l’image de ta page principale en haute qualité empêche la totalité de la page de charger.

Ou que ton titre est écrit en taille 13 au lieu de la taille 31. 

Ou tout simplement que niveau esthétique, c’est pas ouf.

Dans tous les cas, contrôler la navigation et l’affichage de ton site, c’est essentiel pour tester ton référencement.

Fluidité, pages à disposition, sommaire, vitesse de chargement, rendu visuel… Tout est important dans le lot !

Et après l’audit ? On fait quoi ?

Deux possibilités :

  1. L’audit t’a montré que ton site va bien, c’est chouette. Il faut juste persévérer jusqu’à obtenir des résultats !
  2. Au contraire, c’est le chaos total. Il faut tout reprendre du début, et ajouter l’expertise SEO à la création de ton site pour que ce dernier soit ENFIN visible. 

Si tu es dans le premier cas de figure : bravo ! Ne perds pas patience, arme-toi de ton courage et ton travail finira par payer.

Si tu es dans le deuxième cas de figure : bravo ! Tu peux maintenant me contacter pour qu’on reprenne tout ça ensemble. Parfois, tout ce qu’il faut pour améliorer la visibilité d’un site, c’est un accompagnement de qualité, par une personne hyper sympa et compétente (et modeste !).

Comment trouver des idées de contenu pour ton blog ?

« Allez, c’est lundi, 9 h, l’heure de la motivation. Une feuille, un stylo et dans 10 minutes, j’ai ma liste de sujets pour le mois prochain »

*A few moments later*

“Allez, c’est vendredi, 17 h, l’heure de l’apéro. Un mojito, une terrasse. Et toujours aucun sujet d’article”.

Tu bloques ? 

T’inquiètes, ça arrive.

Le manque d’inspiration, le fait d’avoir trop donné dans les semaines précédentes niveau originalité, l’angoisse de la page blanche… Les raisons peuvent être nombreuses pour ne trouver AUCUNE. IDÉE. D’ARTICLE. POUR TON BLOG.

Et je sais que ça te fout en rogne, mais respire un coup : j’ai des solutions.

Très exactement, j’ai des commandements. Et ils sont au nombre de 5.

Chausse tes lunettes, reprends ta feuille et taille la mine de ton crayon : avec toutes ces sources d’inspiration, les idées d’article vont couler de source.

femme en panne d'inspiration pour son blog devant son ordinateur

1 — Au grand Google, tu demanderas

On n’est jamais mieux servis que par le premier moteur de recherche du monde.

Le premier commandement, c’est d’interroger Google sur tes idées de contenu. Et c’est aussi simple que c’est gratuit !

Il te suffit de taper la nature de ton activité (genre « Nutritionniste »), et tu peux déjà trouver des informations. Comment ?

Tout simplement en tapant « Trouver nutritionniste » dans la barre de recherche. Et en observant les résultats donnés par l’autocomplétion.

L’autocomplétion, c’est Google qui te suggère des requêtes qui ont déjà été tapées (souvent), en lien avec ce que tu viens d’écrire.

capture d'écran de l'auto complétion Google pour trouver des idées d'articles de blog pour son site

Là par exemple, tu vois que tu peux rédiger des articles sur où trouver un nutritionniste dans différentes grandes villes. Le top si tu proposes des services en visio, par exemple.

Mais tu peux également aller plus loin, en scrollant jusqu’aux recherches associées :

capture d'écran de recherches associées de Google pour des idées d'articles de blog à écrire

Et tadam ! Tu as déjà des pistes de réflexion : les tarifs, les remboursements, les nutritionnistes conventionnés, les ordonnances… Pas mal pour un début de piste, n’est-ce pas ?

Le petit + :

Si la raison pour laquelle tu n’arrives pas à trouver des sujets d’articles, c’est l’angoisse de la page blanche, cette petite recherche préliminaire peut t’aider à débloquer tout ça.


De la même manière que l’appếtit vient en mangeant, l’inspiration vient avec des pistes de réflexion !

2 — Les logiciels, tu interrogeras

Le premier commandement était 100 % rapide et 100 % gratuit. Mais si tu veux quelque chose de 100 % efficace et précis, rien de mieux que les logiciels.

Il y a des logiciels gratuits, il y a des logiciels payants… Tout dépend de ce que tu veux.

Tu peux par exemple te renseigner auprès de Google Trends, qui te permet d’avoir un aperçu précis de la popularité de certaines requêtes. Mais aussi des requêtes populaires RÉCENTES (petit indice : tu trouveras toujours Taylor Swift dans les premiers résultats).

Sinon, d’un point de vue plus précis pour ton idée de contenu SEO, tu peux demander son avis à Google Keyword Planner. C’est le logiciel qu’on utilise le plus pour choisir les mots clés principaux et secondaires.

Keyword Planner te permet de savoir, sur une période donnée et dans une localisation donnée, combien de fois tel ou tel mot clé a été tapé. Le top pour savoir ce qui plaît le plus aux lecteurs que tu cibles.

3 — Sur les réseaux, tu te rendras

J’aurais pu appeler ce commandement « Vers les influenceurs, tu te tourneras ».

Les réseaux sociaux, c’est une mine d’or d’informations pour trouver une idée de contenu. Et en plus, c’est fun.

Pour trouver des idées de contenus, tu peux te diriger vers les grandes pointures de ton domaine d’activité, et voir ce sur quoi ils publient. En général, les « influenceurs » et grands noms des domaines mènent un peu la danse.

Ils publient sur des sujets qui intéressent, et qui génèrent un engagement très prenant, et actuel. Ça peut donc être intéressant de reprendre les thématiques traitées, et d’en faire un article.

Tu peux aussi faire ce qu’on appelle une curation de contenu : tu vas voir ce qui se passe dans les stories, dans les podcasts, dans les vidéos YouTube… Sur tout ce qui s’apparente à une plateforme qui peut fédérer du monde.

Pendant que tu fais ton petit tour, tu notes des idées qui t’intéressent et qui suscitent un certain engagement de la part des internautes. Tu classes, tu fais le tri et BAM ! Tu te retrouves avec un calendrier éditorial complet. 

Tout ça en matant des vidéos YouTube. Elle est pas belle, la vie ?

4 — Tes anciens contenus, tu recycleras

Parfois, tu peux être ta meilleure source d’inspiration.

Si aujourd’hui tu galères à trouver une idée de contenu pour ton blog, rappelle-toi qu’il y a quelques années, tu étais inspiré au max. Alors, pourquoi ne pas reprendre certains de tes contenus ?

Bon, ça marche seulement si les contenus en question datent d’il y a quelques années.

Et si leur recyclage peut être cohérent avec ce que tu proposes sur ton blog.

Par exemple, si tu as rédigé un article sur les nouveautés de Google, ça peut être super intéressant de refaire un point. Genre « En 2016, on découvrait que Google… Mais aujourd’hui, la plateforme a changé de cap… »

Comme quoi, s’auto-inspirer c’est possible ! Et presque poétique. Quand on n’y réfléchit pas trop.

5 — Dans ton inspiration, tu chercheras

Quand on galère à trouver des idées d’articles de blog, c’est la panique.

Et après la panique vient l’abattement.

Et après l’abattement vient le beau temps… Ah non : après l’abattement, vient l’abandon.

Pour éviter d’en arriver là, ferme les yeux et respire.

Sors boire un coup avec tes amis.

Va au cinéma.

Lis, dessine ou binge-watche toutes les saisons de Friends que t’as déjà vu 6 fois.

En bref, fais ce qu’il faut pour te détendre. Parce que si t’es stressé et tendu, il y a fort à parier pour que l’inspiration te fuie comme la peste.

Alors, prends le temps de te recentrer et de te concentrer sur ce qui te plaît et ce qui t’intéresse. Comme ça, le lendemain, le surlendemain ou 3 semaines après, tu reviendras à tête reposée, avec plein d’idées pour tes nouveaux sujets.

Le dernier commandement : si la flemme tu as, mes services tu demanderas

Je mets mon inspiration créative et mon expertise technique au service de ton référencement. Pas d’idée ? Pas de problème, j’en fais mon affaire. 

En bref : t’inquiète, je suis là pour assurer !

Comment optimiser sa fiche Google ?

« On mange où ce soir ?

Une conversation qu’on entend au moins une fois par jour, dans des centaines de maisons en France (source : notre expérience à tous). 

Parce qu’aujourd’hui, on ne demande plus notre chemin, on ne déambule plus à la recherche du restau parfait, on ne consulte pas l’annuaire des artisans… Aujourd’hui, on cherche !

Et la plupart du temps, quand on cherche un resto, une boutique ou un professionnel, on tombe tout de suite sur la fiche Google My Business.

Tu sais, ce petit encart qui donne toutes les informations sur le lieu que tu cherches, comment y accéder et qu’est-ce qu’il propose ? Eh bien ça, c’est le nouvel outil à ne pas manquer pour booster ton référencement local.

Tout simplement parce que les Français passent en moyenne 5 heures 34 par jour à surfer sur Internet, et que c’est souvent pour chercher où manger, où se rendre et comment y aller.

La fiche d’établissement Google (aka fiche Google My Profile, aka fiche Google My Business, aka à-quand-un-nom-définitif-stp-Google) devient un outil indispensable pour améliorer ta communication, que ce soit en tant que commerce physique ou pour ton activité sur Internet.

Mais si créer une fiche Google n’a rien de compliqué, c’est une autre paire de manches pour l’optimiser.

Non, en fait pas tant que ça : ce n’est pas très technique, mais ça demande un peu d’attention. Et crois-moi, une bonne maîtrise de la fiche Google peut faire des merveilles pour ton référencement local. Je t’en dis plus !

Femme avec un tee shirt Google qui demande "Dis-moi où tu vas, je te dirai comment y aller avec la fiche établissement"

Le classement des fiches par les algorithmes Google

Avant de passer aux questions techniques pour améliorer ton classement local sur Google, il faut comprendre comment ça fonctionne. Chaque entreprise peut créer une fiche d’établissement Google, renseigner les horaires, l’adresse, les catégories… Bref, toutes les infos techniques super utiles.

Les Googlebots naviguent comme à leur habitude, et font un classement des fiches d’établissement. Ce qui fait que quand tu tapes « restaurant italien », tu tombes sur la fiche GMB (Google My Business) d’un restau plutôt que d’un autre.

Ce classement est fait selon différents critères : la pertinence, la distance et la proéminence.

C’est quand ta fiche est choisie parce qu’elle correspond à la demande de l’internaute. Par exemple, si ta catégorie principale est « restaurant italien », tu ne vas pas ressortir sur une requête de « restaurant sushis ». 

Plus c’est près, mieux c’est ! Si un utilisateur précise « restaurant italien Lyon », tu as toutes tes chances. D’où l’importance de bien renseigner l’adresse de ton entreprise. 

Là, c’est un peu plus technique. La proéminence, c’est la popularité auprès du grand public. Par exemple, si tu cherches un musée à Paris, tu as des chances de tomber sur la GMB du Louvre avant de tomber sur celle du Musée de La Vie Romantique. Google analyse ça en fonction du nombre d’avis, des mentions sur Internet, du positionnement dans les recherches à proximité… Donc ta position dans le cœur des internautes et dans le classement d’Internet.

Photo de la pyramide du Louvre éclairée la nuit pour illustrer sa popularité

Comment améliorer son positionnement local sur Google ?

Bon, maintenant qu’on sait comment ça fonctionne, parlons peu, parlons concret. 

Comment faire pour booster l’optimisation de ta fiche Google ? J’ai des petites astuces pas piquées des hannetons, qui vont te plaire à coup sûr. 

Bien renseigner tous les champs, surtout la catégorie

C’est évident, mais il faut le dire : le classement de ta fiche de référencement local dépend des informations que tu as renseignées.

À commencer par le nom de ton établissement. Tu peux être tenté de noter « Chez Gino, restaurant, restaurant italien, restaurant à Lyon, pizzeria, pizza à emporter » et toute une ribambelle de mots clés susceptibles d’être tapés dans la barre de recherche.

Crois-moi : c’est une mauvaise idée. Parce que c’est considéré comme de la suroptimisation, et Google n’aime pas ça. Et quand Google n’aime pas, il sanctionne ! 

Si tu te fais choper, tu peux dire adieu à ton bon référencement local. Ta fiche peut même être supprimée, donc le jeu n’en vaut pas la chandelle.

Ensuite, il y a l’adresse, le numéro de téléphone, les horaires, le site… Prends garde à ce que tout soit bien à jour. Tu peux également préciser des attributs comme « Repas à emporter », « Vente en ligne », etc.

Puis voici venue : la catégorie ! C’est celle qui aide Google à savoir ce que tu proposes. Tu as le droit à une catégorie principale, et à des catégories secondaires (pas plus de 3, sinon ça perd son intérêt). Tant pour les internautes que pour les algorithmes Google, c’est un choix qu’il faut faire avec attention.

Le petit + :

Il est possible que ton entreprise propose plusieurs services principaux. Dans ce cas-là, je te conseille de noter en catégorie principale soit le service qui rapporte le plus, soit celui qui te tient le plus à cœur !

Gérer et répondre aux avis

Rien de pire qu’une entreprise qui ne répond pas à ses commentaires ! Qu’ils soient positifs ou négatifs, prends le temps de répondre, si possible à TOUT LE MONDE. Y compris à tes messages Google My Business.

Plus tu auras d’avis sur ta fiche, plus les clients te feront confiance et plus tu auras de nouveaux avis de nouveaux clients. Le cercle vertueux que l’on souhaite tous !

Le petit + :

Pour encourager les clients à laisser un avis, tu peux leur partager un formulaire d’avis sous forme de lien. Et c’est même des liens que tu peux personnaliser avec un message court !

Ne jamais négliger le visuel !

Une image vaut 1 000 mots, alors pourquoi passer à côté de l’opportunité ? Google My Business te permet de mettre des photos de ton entreprise, ce serait dommage de ne pas le faire. Je te conseille de mettre des photos au format JPG ou PNG, de 720 x 720 pixels.

Déjà, ça aide les internautes à visualiser ce que tu proposes. Mais en prime, ça personnalise ton entreprise ! Mettre un visage sur un commerce, c’est toujours bon pour les affaires.

Le petit +

Pour être en avance sur tes concurrents, tu peux même mettre une image 360° pour aider les internautes à s’immerger dans ton univers. Et pourquoi pas une vidéo ? Ça peut faire toute la différence.

Femme qui ajuste ses lunettes et dit "ouah il est trop cool ce site"

Google Post, le meilleur ami pour tes actus

Google Post, c’est une fonctionnalité qui permet aux entreprises de publier leurs dernières actus. Ces actualités apparaissent sur la fiche d’établissement, et les internautes peuvent se rendre compte à quel point ton entreprise est vivante et dynamique.

Les Google Posts sont un véritable boost pour ton référencement local, parce qu’ils te donnent une visibilité accrue dans les résultats de recherches. Et comme tout ce qui concerne l’optimisation sur Internet, le secret avec les Google Posts, c’est la régularité.

Un Google Post est visible pendant 7 jours seulement. Prends le temps de publier au moins une fois par semaine pour avoir un avantage sur la concurrence.

Le petit +

Comme pour le référencement naturel de ton site, la qualité prévaut toujours sur la quantité. Fais en sorte que tes actualités soient complètes, cohérentes et intéressantes, pour vraiment faire mouche.

Qui dit fiche optimisée, dit site Internet optimisé

Le but de ta fiche d’établissement Google, c’est que les utilisateurs se rendent dans ton magasin, ou sur ton site web. Et il faut savoir que le référencement local sur Google est étroitement lié au référencement de ton site Internet.

Prends donc le temps d’optimiser ton site pour avoir un résultat vraiment au top ! Par exemple, il est bon de savoir que 86,5 % des internautes en France utilisent leur téléphone pour surfer sur Internet. Assure-toi donc d’avoir un site mobile friendly, avec un affichage optimisé au max.

Ensuite, tu connais la musique : vitesse de chargement réduite, images pas trop lourdes, bon choix de mots clés, optimisation sémantique… Tout ce qu’il faut pour optimiser le SEO de ton site.

Tu ne connais pas encore la musique ? Je t’apprends à danser ! Ma spécialité, c’est le référencement naturel des sites Internet et l’accompagnement des entreprises. La bonne solution pour une fiche GMB optimisée à balles !

Découvrir et créer une fiche établissement Google, ancienne Google My Business

C’est quand, la dernière fois que tu as arrêté ta voiture pour demander ta route à un habitant ? 

Si la réponse est “Euuuh… Aucune idée”, félicitations ! Tu fais partie des générations pour lesquelles Internet est indispensable (t’inquiète pas, j’en fais partie aussi).

Selon Semrush, le site Google.com comptabilise plus de 712 millions de visites par mois. Un chiffre astronomique, qui révèle beaucoup de choses. Mais surtout le fait qu’aujourd’hui, on ne demande plus son chemin. On le cherche sur Google.

Tout comme les restaurants, les librairies, les tabacs, les bars… En bref, tous les lieux d’achat et de divertissement sont référencés sur Google. Et plus exactement sur la fiche d’établissement Google.

Mais si, tu vois ce que c’est. 

Tu sais, le petit encart sur le côté droit de l’écran, quand tu cherches un endroit en particulier ? Celui-ci : 

Page de résultats Google qui montre le Google Business Profile de Christelle Pacaud, consultante SEO à Lyon
Fiche établissement (Google My Business) dans la page de résultats

Eh bien aujourd’hui, cibler ton entreprise sur une fiche Google My Business, c’est essentiel. Si ça t’intrigue, il ne te reste plus qu’à scroller !

Pourquoi créer une fiche Google My Business ?

Alors il est vrai que je l’ai appelée “fiche Google My Business”, mais ce n’est plus le bon vocabulaire aujourd’hui. Tout simplement parce que pour la 8 345 678ème fois, Google a changé cette fiche de nom. Avant, c’était Google Local Business Center, Google My Profile, Google My Business… Aujourd’hui, c’est la fiche d’établissement Google !

La raison de ces changements de nom, c’est que Google souhaite faire disparaître l’application Google My Business, qui permet (entre autres) de gérer la fiche d’établissement. Les entreprises pourront alors modifier leur fiche directement sur Google, comme Google Maps le propose déjà !

Mais bref, assez parler de la théorie des volontés obscures du géant d’Internet, on n'est pas là pour ça. 

On est là pour comprendre l’utilité de la fiche d’établissement. 

La visibilité, pardi !

La raison est simple : la visibilité immédiate auprès des internautes ! Les fiches d’établissement sont des fiches d’identité pour les entreprises. Elles précisent :

Concrètement, tout ce qui permet de connaître l’entreprise en question, ce qu’elle propose et d’une façon générale : apporte une réponse claire et rapide à l’internaute. toutes ces problématiques auxquelles l’internaute souhaite répondre.

Entre Internet et ton magasin, ça fait le lien

C’est un véritable levier de stratégie Web to Store, parce que cette fiche permet aux internautes de savoir que tu existes, et de te contacter dans la foulée. Voire même de venir te voir direct en magasin ou sur ton site.

Parlons peu, parlons chiffres : pour 50,6%, des Français faire des recherches sur un lieu est une des raisons principales pour effectuer une recherche sur Internet. Plus clairement : la fiche Google, c’est une opportunité à ne pas manquer.

Les informations sont pratiques et peuvent être données sans même un clic : c’est rapide, c’est efficace, c’est tout ce qu’on aime dans le monde digital.

MAIS ! (oui, il y a un mais)

Pour avoir une fiche GMB vraiment efficace, il faut bien la faire. On ne va pas parler aujourd’hui d’optimisation de la fiche Google My Profile. Ni des bonnes astuces pour se faire référencer sur Google Maps.

Aujourd’hui, on fait simple et efficace (comme une bonne fiche d’établissement) : comment créer une fiche Google My Profile ?

Comment créer une fiche Google My Business ?

Alors déjà, je te rassure : pas besoin d’être un pro du web.tu peux calmer tout de suite tes doutes. 

Créer une fiche d’établissement Google, ce n’est ni compliqué, ni trop technique. En suivant ces quelques petites étapes, tu peux le faire en un claquement de doigt !

(Toutefois, je te conseille de le faire en deux ou trois claquements de doigts, au moins. Il y a une différence entre vitesse et précipitation, et ce serait dommage de bâcler ta fiche d’établissement.)

Crée ta fiche Google My Business

Tout d’abord, la création d’une fiche Google My Profile est totalement gratuite. Il te suffit de créer un compte Google ou un compte Gmail, qui sont eux aussi gratuits.

Une fois sur ta page Google ou Gmail, tu dois cliquer sur les 9 petits carrés qui sont en haut à droite (le petit 1) :

Puis tu cliques sur “fiche d’établissement” (le petit 2). Tu vas tomber sur une page qui correspond à la carte d’identité de ton entreprise.

Il faut simplement remplir tous les champs, avec attention et application. On évite les fautes, on évite le tutoiement et on écrit bien pour faire plaisir aux petits et aux grands.

Et surtout, surtout : on garde toutes les informations bien mises à jour. Sinon, ça peut devenir problématique pour les internautes qui souhaitent te contacter.

Le petit + :

Si la fiche d’établissement de l’entreprise est déjà créée, tu vas devoir en demander l’accès. Globalement, ça se résume à Google qui envoie un email à l’entreprise en demandant “C’est OK ? Je peux lui donner l’accès ?”. Et comme tu fais partie de l’entreprise, il n’y a qu’à répondre “Oui, go”. Et c’est bon.

Demande aux clients de donner leur avis

Que tu tiennes un commerce physique ou non, n’oublie pas de demander aux clients de laisser leur avis sur ta fiche d’établissement Google. Pour ce faire, tu peux leur envoyer un lien très simplement en cliquant sur “Partager formulaire” sur la page d’accueil de ta fiche :

Recueillir des avis depuis la Google Business Profile

Le petit + :

Si tu vois des avis, réponds-y ! (Si je peux prendre le temps de faire des rimes, tu peux prendre le temps de répondre aux commentaires de tes clients)

Parce que ça marche, que ce soit des avis positifs ou négatifs. Quand une entreprise prend le temps de répondre à ses clients, ça prouve qu’elle se soucie de ce qu’ils pensent. Un bon point supplémentaire !

Référencer tes dernières actualités

Maintenant avec la fiche d’établissement Google, tu peux notifier tes dernières actualités en date. Que ce soit des événements à venir, une nouveauté sur ton blog ou toute autre précision, c’est super pratique en termes d’optimisation. Et optimiser sa fiche d'établissement Google, c'est une pratique super efficace en termes de visibilité !

Ça permet aux internautes de voir que ton entreprise est active, et qu’il se passe des choses tous les jours (ou presque). Tu peux donner l’image d’une entreprise dynamique, présente, réactive, proche de ses clients… Tout ce que tu veux et qui peut plaire à tes clients. 

Le suivi des statistiques, toujours !

Google ne serait pas Google s’il ne proposait pas des suivis par des statistiques. Sur ta page Google dans le menu à gauche, tu as accès à tout un panel de chiffres.

Tu peux voir combien de personnes ont visualisé ta fiche d’établissement, si c’était par hasard ou par recherche ciblée… En bref, tous les chiffres et détails dont tu as besoin pour t’améliorer en terme d’optimisation de la fiche Google My Profile.

2 graphiques qui illustrent l'analyse des statistiques de la fiche établissement Google pour le référencement
Analyser les statistiques de sa fiche

Créer et gérer ta fiche d’établissement Google

Et voilà, tu as maintenant une fiche créée, propre et très intéressante du point de vue des informations transmises ! Tu vas voir, c’est un réel avantage pour les entreprises, parce que les acheteurs passent plus de temps à faire des recherches sur leur téléphone qu’à se perdre dans les rues en quête du bon restaurant… 

Et si tu as besoin d’aide pour rédiger une fiche d’établissement optimisée, je suis là !

Comment trouver le volume de recherche d’un mot-clé ?

Le référencement, c’est super marrant !

Du moins, quand on le comprend.

Ce que j’essaie de te dire avec cette rime digne d’une classe de CP, c’est que se référencer sur Internet, ça peut être fun. Mais il faut partir du bon pied.


Quand on crée un site Internet ou quand on lance son activité, on a envie d’aller vite. On a la passion du début, la fougue des premiers instants, les genoux qui tremblent et le cœur qui bat… Tout comme l’amour, l’enthousiasme professionnel peut rendre aveugle.

Dans cet article, on part de la base de la base : le mot-clé. 

Cette notion qui peut sembler simple est en réalité un choix hyper important, à faire à tête reposée.

Bien choisir son mot-clé, c’est si important que ça ?

Le mot-clé d’une page web sert à la référencer sur Internet. C’est sous ce nom-là que les algorithmes de Google vont la connaître. Un peu comme quand tu donnes un prénom à ton enfant.

Sauf que contrairement à ce qui se passe dans les maternités, donner un prénom peu connu à ta page web, ce n’est pas « cool ». Ce n’est pas « original comme prénom, je n’avais jamais entendu ». 

Sur Internet, qui dit peu populaire, dit peu demandé. Et qui dit peu demandé dit peu visible.

Il est important de choisir un mot-clé avec le volume de recherche adéquat.

Et c’est là qu’on rentre dans le côté plus technique. 

Allez, suis-moi…

… Et surtout, pas de panique ! (C’est bon, promis j’arrête les rimes)

Qu’est-ce que le volume de recherche d’un mot-clé ?

Les moteurs de recherche gardent tout en mémoire. Ils savent combien de fois un mot-clé a été tapé dans la barre de recherche. C’est par exemple comme ça que Google Trends peut faire un top de mots-clés pour l’année 2021

Et nous montrer à quel point l’être humain est étrange (« Pourquoi les tronçonneuses ont été inventées ? » en première position ? Sérieusement ?).

Le volume de recherche d’un mot-clé permet donc de trier les mots-clés populaires, de ceux qui n’intéressent personne. 

De manière générale, quand on se penche sur la question du SEO on étudie le nombre de requêtes des mots-clés sur des périodes plus ou moins larges.

Ça permet de savoir si un mot-clé est populaire de manière saisonnière ou indéfinie. (Genre « Noël » ou « feux d’artifice »).

Ce sont des informations essentielles pour mettre en place une stratégie SEO efficace. Et surtout, pour attirer l’intérêt des internautes que tu cibles et générer du trafic sur ton site.

Ou des décorations de Noël en juillet...

Pourquoi faut-il prendre le temps d’étudier le volume de recherche de mot-clé ?

On va revenir un peu sur l’utilité du volume de recherche sur un mot-clé.

La base de ta stratégie SEO

Concrètement, choisir un mot-clé populaire pour ta page web t’aide à mettre toutes les chances de ton côté niveau visibilité. Si tu choisis un mot-clé qui est tapé 10 000 fois par mois, tu sais que les gens s’intéressent à ta thématique.


Mais tu sais aussi que c’est un mot-clé qui est très demandé, donc très concurrentiel.

A contrario, si tu choisis un mot-clé qui est tapé 10 fois par mois, tu sais qu’il intéresse peu de gens, mais quand même quelques-uns. Et que vu le volume de recherches, il n’y a pas foule sur la thématique. Tu vas donc pouvoir facilement te démarquer.

Ça, c’est la première utilité du mot-clé : le trafic organique. C’est le référencement naturel de ton site, grâce auquel les internautes intéressés tombent sur la page web qu’ils recherchent.

La base de ta stratégie SEA

La deuxième utilité est moins naturelle. Et aussi moins gratuite. 

On parle ici de référencement payant : par exemple, une campagne Google Adwords.

Le principe est simple : tu achètes un mot-clé, sur lequel tu vas être positionné en priorité. Avant même que le résultat naturel du moteur de recherche ne sorte, PAF ! Voilà ton site.

Comme ça :

C’est ce qui sort en premier quand on tape « recherche de mots-clés ». Ces sites ont bien choisi leur mot-clé pour leur publicité. S’ils avaient choisi « suivre la position des mots-clés », ils ne seraient pas sortis sur ma requête.

Dans les deux cas, le choix du mot-clé c’est le B.A.-BA.

Comment connaître le nombre de recherches par mot-clé ?

Alors c’est bien beau toutes ces explications théoriques. C’est bon, tu as compris : il faut un mot-clé populaire, et si possible peu concurrentiel. Mais comment on sait, tout ça ?

Afin de nous faciliter la tâche, il existe différents logiciels pour connaître le nombre de recherches d’un mot-clé sur Google, par mois ou sur une période définie.

Tu peux par exemple utiliser le site gratuit Ubersuggest, récemment racheté par Neil Patel. Tu tapes une idée de mot-clé, et il te donne le volume de recherche ainsi que des idées supplémentaires de mot-clé.

Avec le logiciel gratuit Spyfu, tu peux obtenir le mot-clé choisi par tes concurrents. Assez pratique pour te positionner sur les mêmes mots-clés, et leur passer devant.

Mais si tu recherches un logiciel pro français vraiment complet, je ne peux que te conseiller Ranxplorer. Il est parfait pour obtenir le nombre de recherches par mois, en fonction du pays sélectionné. Le top pour rester au top niveau référencement ! (J’avoue, c’est mon petit pref'd'où le lien affilié)

Le volume de recherche d’un mot-clé : un indice infaillible ?

Tu sais maintenant comment trouver le volume de recherches d’un mot-clé sur Google. Mais après avoir vanté l’utilité de cette donnée, c’est l’heure d’apporter une nuance. 

Le voici le voilà, c’est l’instant bémol !

L’instant bémol 1 : la popularité ne fait pas tout !

Comme tout ce qui se passe sur Internet, il ne faut pas oublier que le volume de recherches d’un mot-clé n’est pas non plus une donnée infaillible. Si tu trouves un mot-clé peu populaire et peu concurrentiel, il n’est pas forcément à jeter.

Concrètement, il est préférable de choisir un mot-clé très populaire, surtout pour ta page d’accueil. Mais si c’est pour un simple article de blog, la situation peut être différente.

En effet, ton mot-clé peut aussi appartenir à un grand ensemble : ta stratégie de référencement naturel. Tu peux par exemple créer un cocon sémantique, avec comme objectif de devenir une véritable référence sur un domaine en particulier.


Dans ce cas-là, tu te doutes bien que tu ne peux pas rester centré que sur des mots-clés généraux. Il faut aussi viser plus précis, et donc moins populaire. 

Mais ça te permet de te positionner sur tous les mots-clés qui concernent une thématique.

Ou de te placer par rapport à un concurrent.

Ou encore par renvoi d’une autre page, pour mettre en place un partage de trafic.

L’instant bémol 2 : un mot-clé populaire ne suffit pas à rendre un site populaire

Il faut également prendre en compte le site sur lequel tu comptes publier ton contenu. 

Tu auras beau choisir un mot-clé populaire, si ton site n’est pas optimisé sur les autres points, s’il n’est ni travaillé, ni fluide, ta visibilité ne bougera pas d’un iota. C’est la dure loi de la jungle virtuelle…

Il ne faut pas oublier de considérer l’ancienneté de ton site, et sa notoriété sur Internet.

Concrètement, il ne suffit pas de faire une recherche de mot-clé par-ci par-là. Si tu veux que ça fonctionne vraiment, il faut mettre en place toute une stratégie de mots-clés.

Eh oui, ça prend du temps. Et c’est pour t’alléger de cette tâche que je suis là !

Quelle est la différence entre référencement organique et référencement payant ?

Tu as déjà joué au tir à la corde quand tu étais enfant ? (ou adulte, je ne juge pas). Si non, tu as peut-être déjà regardé Intervilles au cours de ta tendre enfance (ok, ça ça ne nous rajeunit vraiment).

Tu sais, c’est ce jeu où deux équipes tiennent chacune un bout de la corde et doivent tirer aussi fort que possible. L’équipe la plus faible se retrouve le nez dans l’eau de la piscine gonflable placée entre les deux.

Si tu ne vois pas de quoi je parle, le jeu est aussi présenté dans Squid Game. Bon, le sort n’est pas tout à fait le même. Mais le principe est identique.

Lorsqu’on ne la connaît pas bien, vue de loin la relation entre référencement organique (SEO) et référencement payant (SEA) fait un peu penser au tir à la corde. Chacun tire la couverture à lui, dans le but de faire tomber l’autre.

Qui est le meilleur ?

Qui est le plus efficace ?

Qui est le plus rapide ?

On a parfois tendance à croire que SEO et SEA s’opposent diamétralement. Mais ne dit-on pas parfois que les opposés s’attirent ?

Si ça te tente d’en savoir plus sur la différence entre SEO et SEA, cet article est pour toi. C’est parti !

référencement naturel et référencement payant quelles sont les différences ? illustré par deux judokas représentant le SEO et le SEA qui s'opposent
Référencement gratuit ou payant, le grand combat ?

SEO et SEA : une histoire à la Roméo et Juliette

Tout comme les Capulet et les Montaigu, SEO et SEA ne semblent pas s’entendre. Comment le pourraient-ils, en étant aussi différents ?

Mais avant de nous lancer dans la version romancée des règles de visibilité, un petit point essentiel : qu’est-ce que le SEO ? Et qu’est-ce que le SEA ?

La notion de SEO

En anglais, SEO veut dire Search Engine Optimization. Mais comme on aime bien ne pas faire comme les autres, on a traduit ça par « référencement naturel ».

Le SEO, c’est l’ensemble des règles visant à améliorer la visibilité d’un site. Jusque là, tout va bien.

Sauf que toutes ces règles sont en réalité une exploitation des préférences des moteurs de recherche. En gros :

Schéma classique de récompense. C’est ce qui correspond au SEO.

Ce dernier se fonde sur 3 piliers :

Le SEO, c’est donc un travail en amont, qui a des effets sur la durée. Et qui est gratuit (enfin pas vraiment, mais on y reviendra).

Les fondamentaux du SEO

La notion de SEA

À l’exact opposé, se trouve le SEA : Search Engine Advertising ou référencement payant. De manière générale, l’objectif est le même que le SEO : la visibilité.

Mais les manières de l’atteindre sont différentes. Au lieu de respecter les préférences des algorithmes, le SEA prend un raccourci. Il graisse la patte des moteurs de recherche, mais de manière totalement légale.

Autrement dit, le SEA prône l’achat d’espaces publicitaires, de mots clés et autres, pour apparaître dans les premiers résultats.

Par exemple, avec Google Adwords : un site achète un mot-clé. En fonction du budget alloué et de la population qu’il veut toucher, il ressortira en première position à chaque fois qu’un internaute tapera ce mot clé dans la barre de recherche.

Comprendre le SEA

Autant te dire que niveau visibilité, c’est top. Apparaître en première position dans les SERPs, y a que ça de vrai ! Mais comme on n’est pas tous milliardaires, c’est une solution qui peut vite coûter cher. Surtout que plus les mots clés sont demandés, plus ils coûtent cher (le prix est fixé selon un système d’enchères, en quelque sorte).

Cette méthode est donc efficace, mais sur le court terme. Parce qu’une fois que ta campagne Adwords est finie, hop hop hop. Tu retournes bien gentiment avec les autres résultats de recherche, à la 6e page. Fini la gloire, retour au vestiaire.

Tout les oppose, et pourtant…

De prime abord, la différence se limite à ça : le SEO c’est gratuit et sur le long terme. Le SEA c’est payant et sur le court terme. Mais tu imagines bien que ce n’est pas aussi simple.

Tout d’abord, le SEO n’est pas vraiment gratuit-gratuit. Parce que mettre en place les préférences des algorithmes, ça prend du temps. Et si tu ne t’y connais pas en SEO, tu dois soit te former, soit te faire accompagner par un professionnel. Donc que ce soit en temps ou en argent, tu dois raquer.

« Les effets se font ressentir sur le long terme », oui et non. Parce qu’Internet évolue tout le temps. Donc un contenu parfaitement optimisé il y a 10 ans peut aujourd’hui se retrouver au bas de l’échelle. Il faut mettre en place une veille informatique pour connaître les dernières tendances. Et surtout, rester à l’affût d’éventuels dysfonctionnements sur ton site.

Ensuite, le SEA peut ne pas être aussi efficace que ce que l’on pense. Si tu cibles le mauvais mot clé par rapport aux intentions de recherche, autant te dire que tu n’obtiendras pas de trafic qualifié.

On se rend donc bien vite compte que cette rixe éternelle est basée sur des différences pas si marquantes que ça.

Une histoire d’amour impossible, vraiment ?

Alors au lieu de se demander « Quelle est la différence entre SEO et SEA ? », et si on ne se demandait pas plutôt si tout le monde pouvait travailler main dans la main ?

Eh bien figure-toi que si ! Aujourd’hui, les Capulet et les Montaigu sont de nouveaux potes. Ils marchent côte à côte, et se tiennent la porte mutuellement. Tout ça grâce au SEM, qui a vu le jour entre-temps : le Search Engine Marketing.

Issu d’une alliance parfaite entre SEA et SEO, il possède tous les avantages de l’un et de l’autre.

Le SEO est parfait pour une visibilité sur la durée, et pour générer un trafic régulier.

En complément, le SEA donne une visibilité percutante pour les lancements de produit ou les saisons hautes.

Donc quand l’un n’intervient pas, c’est l’autre qui prend la main. Une relation d’amour pure, où les compromis et le respect règnent : c’est pas beau ?

complémentarité SEO et SEA
SEO et SEA : des stratégies complémentaires

SEA + SEO = SEM 4ever

Maintenant que l’amour entre SEA et SEO est possible, c’est un tout nouveau champ des opportunités qui s’ouvre. Au lieu de faire un choix entre deux outils très efficaces à leur manière, prends les deux !

Il te suffit d’un accompagnement personnalisé par une consultante SEO (hello !) pour mettre au point une stratégie pleinement efficace pour ta marque. Oui, parce que ce que j’ai oublié de préciser, c’est que ce qui fonctionne pour toi ne fonctionnera pas forcément pour les autres. Et vice versa.

Il te faut donc un accompagnement sur-mesure. Et pour ça : je suis là ! (Et si tu veux une stratégie complète SEO + SEA je travaille avec des collègues de choc de l’équipe d’en face.)

Astuces SEO à piocher pour mieux comprendre le référencement naturel

Un condensé de contenus courts sur le référencement naturel pour remettre les choses à leur juste place et permettre à tous de comprendre les bonnes pratiques. Une page pour ne plus confondre référencement naturel et référencement payant, pour comprendre les éléments qui entrent en ligne de compte dans une stratégie de contenu... Ces astuces SEO ont été rédigées initialement pour être publiées sur les réseaux sociaux, mais je veux te les mettre à disposition de façon intemporelle (et sans que tu aies à fouiller dans les limbes de mon profil LinkedIn).

De quoi as-tu besoin pour faire du référencement ?

Pour faire du SEO, tu as besoin :

💻 D’un site web fonctionnel,
📡 D’informations utiles à partager dans ta thématique,
🧰 De ressources à mobiliser pour diffuser dans les règles ces informations.

Il n’y a pas de secret en ce qui concerne ces ressources.

Ce sont simplement les moyens dont tu disposes pour mettre en œuvre la stratégie SEO la plus efficace (et la définir si ce n’est pas déjà fait).

Ces moyens sont :

⌛ Le temps
💰 L’argent

C’est tout.

Que ce soit pour te former (ton propre temps + un investissement en argent), pour rédiger toi-même des articles optimisés et pertinents qui vont booster ton trafic (ton propre temps en quantité), pour déléguer (un investissement en argent adapté + un peu de temps pour recruter), etc.
 
➡ 2 ressources pour les gouverner tous ! 👑

Astuce SEO : les ressources à ta disposition

Le SEO est un pari réalisé à partir des données analysées


Certains décortiquent les arbres généalogiques et palmarès avant de miser sur un cheval.

Certains font « All-in » en comptant sur les statistiques, leur propre jeu et la connaissance de leurs adversaires.
 
Et bien le SEO c’est un peu pareil.

C’est un pari.

Pas un pari lancé au hasard comme les cases cochées sur un ticket de Loto.

Un pari raisonnable que l’on peut faire grâce aux données récoltées (volumes de recherche, intentions de recherche comprises par Google, analyse de la concurrence, compréhension de son client idéal, etc.).

Et le risque dans tout ça ? Aucun risque d’être sanctionné par Google si tu appliques les bonnes pratiques SEO.

Pour le reste tout est question de stratégie, d’objectifs et d’ajustements face aux résultats.

Texte qui montre le SEO comme un pari réalisé à partir des données web

Le SEO est un outil, pas une formule magique


À ceux qui se demandent comment progresser en référencement quand on a un business sur Internet, sans avoir à suivre de longues formations professionnalisantes parce qu’après tout, tu ne veux pas devenir référenceur !
 
Ce que je peux déjà te dire, c’est que tu feras un immense pas en avant si tu comprends une chose fondamentale.

💥 Le SEO est un outil. 💥
 
Ce n’est ni un objectif à atteindre, ni une formule magique. C’est un outil au service de ta stratégie.

Les objectifs de trafic, de nombre de visites, de positions sur Google doivent servir TES objectifs d’entreprise.

Par exemple, penses-tu qu’il soit préférable de viser :
1️⃣ 500 visites de plus par jour sur des mots-clés très généraux, pas toujours en lien avec votre thématique,
Ou
2️⃣ 100 visites de plus par jour d’internautes qualifiés qui ont vraiment besoin de ce que vous proposez ?

Personnellement, je penche pour la 2e option…

Si tu veux atteindre tes objectifs de rentabilité, de développement, de rayonnement : il te faut utiliser les outils en tenant compte du but à atteindre et faire les choix en conséquence.

Lorsque tu mets en place ta stratégie SEO, que tu fais le point sur ton trafic, que tu regardes les résultats : demande-toi quel objectif d’entreprise chaque point sert précisément.

Et c’est la même chose en ce qui concerne la création de contenu !


Un contenu web n’a pas forcément vocation à être optimisé, mais ça c’est un autre sujet ! 😉

Texte qui explique que le SEO est un outil et pas un objectif.

Tous les infopreneurs ont un blog


Pratiquement tous les infopreneurs ont un blog.
Et ils ont raison.

Les contenus publiés dans leur thématique, avec régularité sont essentiels pour augmenter le trafic sur leur site Internet !

C’est la base du SEO de contenu et c’est comme cela que tu peux espérer rendre visible et irrésistible ton projet et tes services (et les vendre dans la foulée).

Le problème, c’est que souvent, les entrepreneurs du web appliquent un peu trop à la lettre les (multiples) recommandations SEO :


💣 Publier 2 articles par semaine pour booster à fond votre trafic (et y passer toute ton énergie en délaissant ton cœur de métier) ;
💣 Optimiser tes articles pour le référencement naturel (même quand ça ne colle pas à ta vision) ;
💣 T'empêcher de poster tes écrits, car les sujets ne sont pas recherchés par les internautes (alors qu’ils te semblent fondamentaux pour expliquer ton positionnement et mettre au clair ta démarche), etc.
 
Résultat ⏩ après quelques semaines ou mois à tenir ce rythme de dingue, l’entrepreneur arrête tout simplement de publier.

Impossible de survivre à ce rythme, ce niveau d’exigence et cette frustration perpétuelle ! Et en plus, les résultats ne sont pas aussi fulgurants que ce qui avait été imaginé.

À défaut d’avoir tout, il n’y aura plus rien. Et c’est pareil pour les résultats…

Si tu veux que ton trafic décolle, regarde les moyens que tu peux y mettre avant de viser des objectifs inatteignables pour le moment.

Pour ma part, je m’intéresse particulièrement aux conditions réelles dans lesquelles mes clients évoluent avant de leur proposer une stratégie personnalisée et réaliste :

Évalue les résultats que tu PEUX obtenir à partir des ressources dont tu disposes ACTUELLEMENT.

Le reste de la stratégie s’adapte pour te permettre de relier ta situation actuelle aux progrès que tu souhaites faire.

Et si l’objectif est d’avoir un blog qui décolle, de goûter au plaisir de devenir une autorité dans ton domaine, l'opportunité de te faire connaître et de vendre sans avoir besoin de démarcher, je te souhaite de belles réussites SEO ! ✨

texte sur le blog chez les infopreneurs et la façon de le rendre bénéfique pour le SEO

Comment optimiser la balise Title ? 6 étapes pour tout comprendre

On te l’explique depuis tes années collège et lycée : le titre, c’est le plus important. Et malheureusement pour ce traumatisme de ton enfance, c’est une réalité qui ne s’arrête pas après l’obtention du bac.

Lorsque l’on tient un site Internet ou que l’on travaille dans l’informatique, on se rend bien vite compte d’une chose : le titre, c’est la première impression. Le problème, c’est qu’on a qu’une chance de faire une bonne première impression.

Et quand on voit qu’un internaute décide de changer de page en moins de 4 secondes, ça fait peur. Il faut donc se rendre à l’évidence : en tant qu’entrepreneur sur Internet, ton rôle est de donner envie. Et donner envie, ça passe déjà par le titre.

Je ne parle pas ici du titre principal de ta page web, mais de la balise Title. Si tu veux savoir tout ce qu’il y a à savoir sur cette balise HTML, tu es au bon endroit !

Qu’est-ce qu’une balise Title ?

Le petit point définition bien important : qu’est-ce qu’une balise meta Title ?

La balise titre

Aussi appelée balise titre, la Title est une balise HTML. C’est-à-dire que c’est un outil pensé pour le référencement, l’analyse de la page web. Elle n’est présente que dans les SERPs, sous forme de titre.

Par exemple, voilà la Title de mon site : 

C’est donc le titre cliquable qui apparaît dans les résultats de recherche. Si tu veux retrouver la balise meta Title de ta page web, tu peux te rendre dans le code source. La Title est présentée sous cette forme :

<title>Titre de la page</title>

Quelle est la différence entre balise Title et balise Hn ?

Donc la Title est le titre de ta page. En fait, oui et non.

Il y a en effet deux titres : la balise Title et la balise H1. La Title, on vient de la voir. La H1, c’est le titre principal de ta page web une fois que tu es dessus. Autrement dit, c’est le nom principal de ton article.

Quand tu cliques sur la balise Title de mon site, tu tombes sur ma page d’accueil : 

balise titre

Ici, ma balise H1 c’est “Je suis Christelle, j’aide les entrepreneurs à développer leur projet & alléger leur quotidien”.

Ensuite, il y a les balises H2, H3, H4… Qui correspondent chacune à un paragraphe, à un sous-paragraphe, à un sous-sous-paragraphe… Les balises Hn te permettent donc de structurer ta page web.

La grande différence, c’est que la balise Title est visible depuis la page de résultats de recherche. Les balises Hn ne se trouvent que sur ton site. C’est plus clair ?

Pourquoi optimiser la balise Title ?

Maintenant que tu connais la théorie de la Title, passons à la pratique : pourquoi l’optimisation de ta meta Title est-elle importante pour ton référencement ?

Tout simplement parce que la Title donne une idée aux internautes de ce qu’ils vont trouver s’ils cliquent sur ta page. Cela permet de cibler les lecteurs que tu vises, et de leur dire “Eh, ce que tu cherches se trouve ici !”.

Mais ce n’est pas tout. La Title permet aussi de dire à Google “Voilà ce dont je vais parler sur cette page web”. Comme ça, quand les Googlebots se rendent sur ta page, ils peuvent vérifier la cohérence de ce que tu rédiges.

Et donc te donner un positionnement cohérent.

Si ta balise Title est “Apprendre à dessiner : tout ce qu’il faut savoir” et que sur ta page web tu parles de cuisine, Google ne va pas voir de lien (et à juste titre, vu qu’il n’y en a pas). 

Il va donc considérer que ta page n’est pas cohérente… 

⇒ Mauvaise pour l’expérience utilisateur… 

⇒ Elle mérite de se retrouver avec les autres sites incohérents, à la 666ème page de résultats de recherche.

CQFD !

Et surtout : comment optimiser la balise Title ?

Mais alors parmi tous les conseils SEO donnés, comment rédiger ta balise Title pour qu’elle soit au service de ta visibilité ? Voici 6 petites astuces pragmatiques.

1 - Placer ton mot-clé principal en début de Title

La toute première chose à savoir : ton mot clé principal doit ABSOLUMENT se trouver en début de Title. Et j’ai utilisé des majuscules, donc c’est VRAIMENT important.

Les tout premiers mots de ta Title = ton mot clé principal.

Et c’est une règle valable pour tous les mots clés, quel que soit son volume de recherche, qu’il soit court ou avec une longue traîne, populaire ou de niche… Mais on entrera dans les détails sur ce point dans un autre article.

Le petit + :

En attendant un article sur le bon choix des mots clés, sache que 0,16 % des mots clés les plus populaires engendrent à eux seuls plus de 60% des recherches. Bonjour la concurrence !

2 - Expliquer clairement l’objectif de ta page web

Ensuite, tout est une question de rédaction. Garde toujours à l’esprit que le but d’une Title, c’est d’expliquer aux internautes et à Google ce à quoi sert ta page.


Reste simple, et préfère les phrases concises (mais pas trop). En lisant ta Title, tout le monde doit savoir exactement ce dont tu vas parler.

3 - Opter pour la voie active

Au-delà du côté rédactionnel, tu peux faire attention à la formulation que tu emploies. Pour attirer l’attention, il est toujours préférable d’utiliser la voie active.

Par exemple :

La voie active donne plus de pep’s de manière globale. Et les internautes adoooorent le pep’s. Tout simplement parce que personne n'a envie de s’ennuyer en lisant un article sur Internet. 

Préconise donc la voie active dans ta Title.

Le petit + :

Le but d’une Title est de durer dans le temps. Assure-toi donc qu’elle ne puisse pas devenir obsolète. Par exemple, au lieu de dire :

Dis :

C’est ce qu’on appelle l’evergreen content.

4 - Adapter ta meta Title à l’objectif de la page

Formulation, ton, information… Tout doit être sur-mesure à l’objectif de ta page web. 

5 - Respecter la longueur imposée

Et surtout, pas trop long, pas trop court ! Tu connais Google, il adore poser un cadre. Et c’est ce qu’il a fait avec la longueur des balises Title : entre 40 et 70 caractères, pas plus, pas moins.


D’ailleurs, plus de 82% des sites Internet respectent cette consigne. Quand Google dit quelque chose, on l’écoute !

6 - Relire ton travail !

Enfin, la dernière étape pour optimiser ta balise titre : relis-toi. De préférence à voix haute, pour apprécier l’effet que donne ta Title. C’est comme ça que tu pourras te rendre compte si elle est trop longue, trop chargée, ou parfaite.

Optimiser une balise meta Title

C’est un fait : la balise Title est essentielle dans le référencement d’un site. Choisis le bon mot clé, le vocabulaire adéquat et le meilleur ton pour avoir l’effet escompté !

Sinon, tu peux aussi prendre rendez-vous avec moi pour qu’on en discute de vive voix. En tant que consultante SEO, mon rôle c’est de tout optimiser !

Pourquoi créer un site Internet pour son entreprise ?

Plus de 5 h 30 ! C’est le temps passé par jour par les Françaises et Français sur Internet en 2021. Et parmi ces internautes, il y a forcément tes futurs clients. Qu’ils soient des particuliers à la recherche d’un objet bien précis à consommer ou des professionnels qui cherchent à acheter un service, ils passent plusieurs heures sur le Web. Des heures à scroller, cliquer et tapoter sur la barre de recherche Google. Tu commences à voir où je veux en venir, n’est-ce pas ? S’il ne voit jamais apparaître tes services ou produits dans les résultats, il n’y a aucune chance qu’il les achète. Il se tournera alors vers tes concurrents qui ont travaillé leur visibilité Web. Alors non, je ne vais pas te dire qu’il faut à tout prix que tu te lances dans la création de ton site, je vais plutôt te montrer pourquoi créer un site Internet pour une entreprise est une bonne idée, en fonction des objectifs que tu souhaites atteindre.

À quoi sert un site Internet pour une entreprise ?

On entend souvent dire que le site Web est incontournable pour une entreprise, que celle-ci vende des produits physiques ou digitaux. Si les entreprises types PME et TPE investissent de plus en plus les réseaux sociaux, les moyens dédiés à la création et à l’entretien d’un site Internet sont moindres.

Pourtant, 92 % des répondants à l’étude menée par L’AFNIC affirment que leur présence en ligne est indispensable. 

Que manque-t-il alors pour que les entreprises se saisissent de l’outil de développement que peut devenir un site professionnel ?

Souvent, c’est la méconnaissance et la crainte de ne pas être capable qui empêchent les entreprises et entrepreneurs de se lancer dans un projet Web. Faisons un petit récap pour comprendre l’importance de créer un site Internet d’entreprise.

Ton propre site professionnel te permet de : 

graphique sur la nécessité d'avoir un site internet pour une entreprise

Génial n’est-ce pas ?

Pourtant tu te doutes bien que ce n’est pas si simple. La création de sites Internet ne fait pas tout et selon ce que tu vises comme retours sur investissement, il faudra également travailler : 

Les avantages d’un site Internet d'entreprise

Une étude menée par l’ASCEL montre que les PME (Petites et Moyennes Entreprises) et ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire) qui se sont lancées et ont mis en place une transformation numérique active ont 2,2 fois plus de chance de se développer que celles qui n’ont toujours pas entamé leur transition numérique. 

Autant te dire que le principal avantage à créer et faire vivre le site Web de ton entreprise est bien la croissance économique de celle-ci. 

Les retombées positives peuvent concerner : 

Évidemment, rien de magique à cela, comme pour tous, les résultats dépendent de différents éléments dont le temps et le budget consacrés à la création du site et des contenus, la mise en place d’une stratégie numérique qui tient compte des objectifs de l’entreprise, etc. 

Créer son site Web en fonction des objectifs de l’entreprise

Avant de se lancer à corps perdu dans l’achat d’un nom de domaine, il est indispensable de réfléchir à la façon dont le site Internet de l’entreprise va s’inscrire dans sa stratégie globale. 

Avoir un site Web pour faire joli ? Très bien, mais n’en espère pas des retombées folles ! 

Veux-tu un site qui soit uniquement une carte de visite en ligne ? Dans ce cas, un simple site one-page suffira. Le site sera lu par ceux à qui tu transmets le lien, mais a peu de chance d’être trouvé sur le Web lorsque l’on cherche tes services.

Souhaites-tu un espace où présenter tes offres et les faire connaître à ceux qui en ont besoin ? Dans ce cas, le site comportera sûrement un blog qu’il faudra alimenter avec des articles optimisés. Travailler le référencement naturel sera indispensable que tu délègues ou non la rédaction Web.

graphique sur le budget d'un site internet d'entreprise

Avant même sa création, il y a un certain nombre de questions à se poser lorsque l’on a pour projet de créer son site. Ces dernières sont indispensables pour éviter de dépenser des milliers d’euros sans retour sur investissement au bout de plusieurs mois.

Demande-toi : 

C’est seulement à partir de ces réponses que tu vas pouvoir mettre en place ton site. Cela revient à s’assurer de savoir pourquoi tu veux créer ce site et comment tu comptes le faire.

Pour créer un site professionnel sans aucune connaissance, le plus difficile est de définir le cadre et les objectifs qu’il va devoir remplir. Une fois au clair sur ceux-ci, 2 choix s’offrent à toi : te former et le réaliser toi-même ou trouver un prestataire dont le métier est de réaliser des sites pour le concevoir.