Comprendre ce qu’est un infopreneur 

Tu t’es déjà dit que tu avais des choses intéressantes à partager avec le grand public ?

Que ton expérience pouvait profiter à d’autres, pour ne pas reproduire les mêmes erreurs ?

Que tu avais acquis une expertise suffisante pour pouvoir en parler ouvertement aux autres ?

Si oui, tu as fait le premier pas que tout infopreneur fait ! Je t’entends d’ici : c’est quoi, l’infoprenariat ?

On dirait un terme journalistique un peu barbare, mais la réalité est beaucoup plus séduisante.

Parce qu’il s’agit de partager ton expérience, tes savoirs, ton expertise… 

Mais contrairement à ceux qui le font gratuitement, les infopreneurs, eux, en vivent. Ils font payer des formations, des expériences, des guides ou des newsletters. Le tout, avec une valeur ajoutée suffisamment importante pour pouvoir justifier le prix.

Mais parlons-en plus en détail : l’infopreneur, définition !

Infopreneur, un métier cliché ?

Qu’est-ce qu’un infopreneur ?

L’infopreneur est un entrepreneur qui vend des informations. Eh oui, tout est dans le nom : info (rmation)/(entre) preneur.

Il existe de nombreux infopreneurs différents, qui touchent à tous les sujets d’actualité ou de niche. Et surtout, c’est un métier qui a la chance de pouvoir être exercé sous toutes les formes !

Tu peux être infopreneur en vendant des formations en ligne. Dans ce cas-là, tu prends plusieurs mois/années pour mettre au point tes formations. Et une fois qu’elles sont prêtes, tu les proposes à la vente sur ton site. Ça engendre des revenus passifs, et si tu en vends suffisamment tu peux aller te dorer la pilule à l’autre bout du monde (même si tu te doutes bien que ce n’est pas si simple).

Tu peux également proposer du coaching. Tu peux te découvrir une passion pour aider les gens à mener leur vie plus efficacement, à se mettre au sport, à adopter une alimentation saine… Et de là, tu proposes un coaching à ceux qui estiment en avoir besoin.

L’avantage du coaching, c’est le nombre de possibilités en matière de formats. Tu peux proposer du coaching par le biais de vidéos déjà préparées, de visioconférences, de réunions en présentiel, en groupe ou en one-to-one… Tout dépend de ce que tu préfères et de ta personnalité.


Des conseils, des newsletters, des vidéos, des livres blancs, des e-books, des guides… L’infopreneuriat te permet de faire les choses comme tu le souhaites. Le tout, c’est de bien les faire (Capitaine Obvious, bonsoir).

Qui peut devenir infopreneur ?

Absolument tout le monde ! 

Il suffit d’adopter le bon état d’esprit (et de travailler, évidemment).

équipe qui travaille et se motive
Allez les infopreneurs, allez !

Se mettre dans la peau d’un infopreneur

Être infopreneur, c’est avant tout un état d’esprit. Tu peux avoir une personnalité qui t’aide à guider les autres, d’entrée de jeu. Auquel cas c’est simple : tu sais que tu as des choses à dire, tu les dis avec le bon aplomb, ça séduit, ça fonctionne et hop ! Direction les Bahamas.

Tu peux également avoir une personnalité introvertie avec un petit syndrôme de l’imposteur qui te plombe au quotidien. Auquel cas il faut travailler dessus pour te débarrasser de tes doutes, prendre confiance en toi, raconter ton expérience et comment tu as réussi à transformer ta personnalité. Tu le racontes avec le bon aplomb, ça séduit, ça fonctionne et hop ! Direction les Seychelles.

Mais tout ça, c’est bien facile à dire. Il y a des infopreneurs qui réussissent, mais il y a également ceux qui ne parviennent pas à percer. C’est la dure loi de la jungle, un peu comme sur les réseaux sociaux.

La plupart du temps, devenir infopreneur implique de prendre confiance en soi. Et ça, ça peut passer par des formations… Elles-mêmes proposées par des infopreneurs ! 

Ensuite, les bons infopreneurs ont une particularité : ils font leur métier avec le cœur. Ils ne sont pas là pour faire de l’argent (même si, on ne va pas se le cacher, c’est indispensable pour bien vivre de son activité). Ils font quelque chose qu’ils aiment et ils le transmettent avec passion : ça se ressent tout de suite. Et en réalité, c’est ça qui fonctionne le mieux, car ça permet aussi de tenir sur la durée.

Les différents types d’infopreneurs

Chaque infopreneur est unique, même s’il existe des grandes « catégories » d’infopreneurs. 

Certains infopreneurs innovants partent d’une compétence, pour la développer d’une manière nouvelle. Un peu comme Matthieu Verne de ReferenSEO, qui a commencé par travailler sur ses propres sites, accompagné des clients en référencement naturel, a fait des erreurs et en a tiré des leçons, a mis en place une méthodologie de travail pour ensuite aider les autres à ne pas reproduire les mêmes boulettes.

Il y a également les infopreneurs qui s’adaptent aux évolutions technologiques et en profitent pour digitaliser leur activité. C’est par exemple le cas de Chloé de SoulSun, qui a l’une des chaînes YouTube de Yoga les plus suivies sur la plateforme.

D’un point de vue storytelling, certains infopreneurs comme Alexis Minchella de Tribu Indé partent de leur expérience personnelle pour guider les nouveaux auto-entrepreneurs sur le chemin du freelancing. Podcast, newsletter, publications LinkedIn... une stratégie de contenu complète !

Peu importe la manière dont c’est fait, ce sont des accompagnements très complets. Ils sont faits dans l’intérêt du client, et dans la passion de l’infopreneur.

Le petit + :

Un infopreneur dont tu entends parler est un infopreneur qui réussit. Et pour réussir, il faut proposer un contenu à très forte valeur ajoutée. Dans ce domaine, les escrocs se font bien vite repérer et rayer de la carte par des avis clients négatifs.

Infopreneurs, tous millionnaires ?

Quels sont les revenus des infopreneurs ?

La question cruciale ! Est-ce que ça vaut la peine de se lancer en tant qu’infopreneur ? 

Si tu réussis, oui. Sinon, pas tant (décidément, Capitaine Obvious est on fire).

Niveau revenus, il y a de tout ! Il y a des millionnaires et des petits à-côtés pour boucler les fins de mois. Impossible de te donner une idée, puisque tout dépend de la popularité de la personne.

En revanche, je peux t’expliquer les différentes sources de revenus : 

Le petit + :

Le revenu dépend de l’activité. Mais la plupart des infopreneurs ont réellement la sensation de gagner lorsqu’ils obtiennent la reconnaissance de leurs premiers élèves/lecteurs/abonnés. 

Quand tu sens que tu aides quelqu’un et que tu le guides vers une meilleure version de lui-même, c’est une rémunération sans pareille ! (Même si ça ne paie pas ton loyer)

Comment se lancer dans l’infoprenariat ?

Se lancer dans l’entrepreneuriat, c’est avant tout un état d’esprit. Mais c’est aussi du concret. De nombreuses personnes rêvent de devenir infopreneurs. Très peu agissent. 

Parce que ça fait peur, parce qu’on ne sait pas par où commencer… Les raisons sont nombreuses. Les excuses aussi !

Créer des contenus

La toute première chose à faire quand tu veux devenir infopreneur, c’est de créer des contenus. Des contenus adéquats, avec une forte valeur ajoutée et pas simplement un copier/coller de Wikipédia. Quelque chose qui te correspond réellement, qui prouve que tu apportes ta pierre à l’édifice.


Si tu crées des contenus suffisamment qualitatifs, tu vas pouvoir acquérir le rang d’ » Expert dans ta discipline ». Et autant te dire que c’est du pain béni !

Quand tu es considéré comme un expert, vendre des formations en ligne ou multiplier tes abonnés sur les réseaux devient beaucoup plus simple.

Un infopreneur est avant tout un expert de son domaine

Être présent sur les réseaux sociaux

En parlant de réseaux sociaux, c’est aujourd’hui essentiel ! Tu peux créer ton compte Instagram, ton compte Facebook… Et montrer le quotidien de ton activité, faire participer tes abonnés, leur répondre. 

C’est tout ce panel de choses à faire qui te permet de créer une vraie communauté engagée, et donc de prendre de l’ampleur.

Le petit + :

Dit comme ça, ça a vraiment l’air simple. Mais gare à la désillusion : percer sur les réseaux n’est plus aussi simple qu’il y a quelques années. 

Si tu comptes te faire connaître par Insta, je te conseille de t’armer de patience. Et surtout, de choisir quelque chose que tu aimes. Parce que ça va être ton quotidien pendant des mois.

Avoir un site optimisé

Être sur les réseaux, c’est bien.

Avoir un site web optimisé, c’est essentiel. 

Il est indispensable que ton site internet reflète ton activité et ta personnalité. Et de manière moins lyrique, il est indispensable que tu sois VISIBLE sur internet. Tu auras beau proposer la meilleure offre, si tu n’es pas visible, personne ne te connaîtra.

Entoure-toi d’experts, notamment dans le domaine du SEO. Le référencement naturel pour créer une audience qualifiée, il n’y a que ça de vrai !

Avoir un bon réseau professionnel

D’ailleurs, le réseau professionnel tout court est super important. Pour créer ton activité d’infopreneur, tu as besoin d’experts dans de nombreux domaines.

Marketing, création graphique, optimisation du site internet… Prends soin de t’entourer des bonnes personnes pour mettre toutes les chances de ton côté.

Par exemple, tu peux t’entourer de moi ! Je t’aide à développer ton idée de business, à optimiser ton site Internet grâce à des super conseils SEO, et à donner vie à tes projets. Ça te dit ?

Définir sa cible marketing : 4 erreurs fatales (et un petit bonus cadeau)

« Ma stratégie ? Je n’en ai pas du tout. Et ça fonctionne du tonnerre ! » est une phrase que jamais personne n’a prononcée. Ou alors seulement quelqu’un de très, TRÈS hypocrite. (Et mytho)

Tu l’as lu, vu, revu et t’as imprimé l’info : la stratégie, c’est la pierre angulaire de la réussite. Ça, c’est bon.


Mais entre savoir et appliquer, il y a tout un monde. En général, quand on se dit « Allez, je mets au point ma stratégie marketing ! », c’est suivi par un blanc intellectuel si intense qu’on entendrait presque les criquets qui chantent.

Tout simplement parce qu’on ne sait pas par où commencer. C’est si large, une stratégie marketing ! 

Si tu te reconnais dans cette description, je te déculpabilise tout de suite : tu es loin d’être un cas isolé. 

Sur 1 000 entrepreneurs, tu peux être sûr que 990 galèrent dans les premiers instants de la création de leur stratégie marketing. Les 10 restants essaient juste de faire bonne figure, mais rament autant que les autres.

C’est le but de l’article d’aujourd’hui : par quel bout prendre le problème ? Je te donne la réponse tout de suite : commence par définir à qui tu t’adresses. 

En gros : à qui tu veux vendre tes produits ? C’est ce qu’on appelle la cible marketing. 

Et c’est reparti pour un tour !

Prendre le temps de définir sa cible marketing, c’est vraiment utile ?

Alors déjà : oui.

Ensuite, je vais quand même t’expliquer pourquoi, parce que la compréhension, c’est essentiel. (Un jour, mon prof de maths m’a dit « on ne vous demande pas de comprendre, on vous demande d’apprendre ». Je n’ai plus jamais fait de maths.)

Définir une cible marketing, c’est essentiel. L’objectif d’une stratégie marketing, c’est de vendre. Mais pour vendre, il faut s’adresser aux personnes qui sont intéressées par ton produit. Et s’adresser à eux avec le bon ton, les bonnes informations, les bonnes couleurs…

Par exemple, si tu vends des prothèses dentaires et que ton site est recouvert de smileys et de « YOLO », « TRO FUN », je ne suis pas sûre que ça fonctionne. Ça va en étonner plus d’un, c’est sûr. Mais je ne pense pas que les sexagénaires te feront confiance avec leurs dents.

Le but de définir ta cible marketing, c’est de viser juste. 

Concrètement :

Visualise une épée. 

Visualise de l’eau. 

Mélange les deux : ça te donne un coup d’épée dans l’eau. 

Et bien ça, c’est une stratégie sans cible. (j’ai hésité avec l’expression « uriner dans un violon », mais c’était un peu trop imagé).

Comment définir une cible marketing ?

Donc, définir exactement à qui tu t’adresses, c’est nécessaire pour avoir l’impact marketing recherché.

Mais il y a définir, et définir.

Définir :

« Ma cible marketing a la trentaine aime manger, et… Voilà »

Définir (mais en mieux) :

« Ma cible marketing à 35 ans. C’est une femme, elle est propriétaire de son appartement et a des enfants. Elle s’intéresse à l’alimentation bio et saine, part en vacances à la montagne, lit des polars et aimerait avoir accès à une alimentation plus simple, toujours variée et bonne pour le corps. »

La différence est assez flagrante, tu ne trouves pas ? 

Globalement, il faut cerner au plus près la personnalité de ta cible. Ses problématiques, son environnement, sa situation économique, sa situation professionnelle, ses valeurs, ses habitudes de consommation, ses centres d’intérêt… Toutes les informations sont les bienvenues, parce qu’elles te permettent d’utiliser les bons mots. De faire les bons choix visuels.

Il existe différentes cibles marketing : la cible principale, le cœur de cible et la cible périphérique.

Ce qu’on cherche pour ta cible marketing, c’est ton cœur de cible : la cible à laquelle tu t’adresses pour vendre. Elle est centrale, intéressée par ton produit et prête à investir.

Les cibles principale et périphérique sont des cibles regroupant des clients potentiels, qui peuvent être intéressés, mais qui ne sont pas des investissements certains. 

Ce que tu recherches, c’est du concret, de la certitude : tu veux toucher les personnes intéressées. Et seulement après, les personnes potentiellement intéressées.

Les 4 erreurs à éviter pour définir une cible marketing

Expliquer comment définir une cible marketing, c’est facile. Mais j’ai toujours trouvé que lister les erreurs à ne pas faire, c’était plus parlant.

Tout simplement parce qu’on prend souvent de mauvaises habitudes sans s’en rendre compte. Voilà 4 erreurs à éviter à tout prix pour définir une cible marketing correcte !

1 — Penser que ton produit peut servir à tout le monde

« Mon produit intéresse tout le monde ».

Alors c’est peut-être vrai, je ne dis pas le contraire. Mais clairement, tout le monde n’est pas prêt à acheter un produit. Penser qu’un produit peut intéresser toute personne, de 9 à 99 ans, tous centres d’intérêts et problématiques confondus, c’est un peu illusoire.

Chaque partie de la population a ses préférences, ses petits penchants. Et c’est justement ce qu’on recherche avec la cible marketing.

Dire que le produit intéresse toute la population, c’est vouer une stratégie marketing à l’échec. Il faut d’abord viser une petite partie, avant de pouvoir espérer élargir le champ des personnes intéressées.


Sinon, ça revient à s’épuiser à créer des produits qui ne parlent pas à la bonne catégorie de population, à utiliser les mauvais mots, le mauvais ton… Bref, on y revient : c’est le coup d’épée dans l’eau.

2 — Suivre tes intuitions pour la définition de ta cible marketing

« Mes clients, ils sont comme moi. Et je sais ce qu’ils aiment ».

Non. 

Il peut arriver que les cibles marketing nous ressemblent, mais dans tous les cas ils ont toujours une personnalité qui leur est propre. Et les vendeurs qui se basent sur des intuitions et des tâtonnements pour trouver leur cible marketing ont tendance à perdre leur temps.

Déterminer les envies et besoins d’une cible marketing, ça se fait à partir de matériel concret. Des données, des enquêtes, des sondages, des études… Tout un ensemble de statistiques très factuelles.

Le petit + :

Pour trouver ces données, tu peux interroger Google sur ce qu’il a en stock. Sinon, pourquoi ne pas créer tes propres informations ? Fais des sondages par email, sur les réseaux sociaux, etc. Une excellente manière de définir une cible marketing qui t’est propre.

3 — Confondre cible marketing et cible de communication

Ça, c’est une erreur que l’on fait souvent. Et ça nous fait revenir un peu plus tôt, sur la définition de cœur de cible et de cible principale.

La cible principale, c’est une catégorie assez large. Elle regroupe les personnes auxquelles on s’adresse dans la communication, et celles auxquelles on s’adresse pour leur vendre nos produits.


Le cœur de cible (la cible marketing), c’est uniquement la catégorie à laquelle on s’adresse pour vendre.

Ta stratégie de contenu doit prendre en compte ces deux personnalités, mais surtout le cœur de cible. Par exemple, sur les réseaux sociaux : certaines de tes publications doivent être commerciales. Mais pour éviter de dégoûter tes abonnés, les autres publications doivent être plus fun, sympathiques à lire, etc.

Ça sert à toucher les deux catégories de clients.

4 — Ratisser large pour toucher plus de monde

C’est une erreur qui s’applique à toutes les problématiques marketing aujourd’hui. Si tu crées une publicité commerciale sur Instagram qui vise à toucher 45 000 personnes, tu peux être certain d’une chose : tu n’auras pas plus de 100 clics sur le lien pour acheter ton produit.

Privilégier la quantité sur la qualité, ça ne fonctionne plus !

Aujourd’hui, il faut cibler un public spécifique. Il faut que ce dernier soit intéressé, pour que ta stratégie fonctionne réellement.

5 — [Le bonus cadeau] Suivre une stratégie inexistante

Et le petit bonus, qui s’applique à TOUT ce qui concerne le marketing, les objectifs d’entreprise, etc. Il faut définir une stratégie. C’est vraiment crucial. 

Et il y a à peu près 8 789 789 293 320 raisons qui expliquent ça. Mais je vais t’en donner 3 :

  1. Définir une stratégie, c’est définir clairement tes objectifs. Donc tu sais concrètement quand tu les as atteints, ou quand tu n’es pas sur la bonne voie
  2. Avoir une stratégie, c’est découper un gros objectif en plein de petits objectifs. Et c’est en suivant ce chemin pavé par tes soins, que tu avances dans la bonne direction
  3. Déterminer ta stratégie, c’est ne pas risquer de te décourager en cours de route. Tu as des étapes à suivre, qui te permettront d’atteindre tes objectifs, etc. Comme une carte de route de la motivation

Anticiper, c’est essentiel.

Bien définir ta stratégie marketing, c’est primordial.

Prends le temps de bien faire les choses pour atteindre tes objectifs !

Par où tu peux commencer pour définir ta cible marketing ?

La définition de la clientèle cible n’est pas une question très simple. C’est une problématique à laquelle on a envie de répondre à la louche, approximativement. Mais ce n’est pas une bonne idée !

Tout simplement parce que savoir à qui tu t’adresses, c’est donner une chance à ta stratégie de réussir. 

Si tu as du mal à définir ton client idéal (ce qui est compréhensible), entoure-toi de professionnels qui peuvent t’aider ! Des consultants, qui travaillent sur Internet depuis un petit moment et qui sont familiarisés avec tous les rouages.

Au hasard : une personne qui s’y connaît en marketing, en présence en ligne, qui a un talent naturel pour comprendre les clients et leurs besoins, et qui a écrit cet article. Et en plus, qui est modeste !

Comment rester motivé quand on est entrepreneur ?

Oh non, aujourd’hui vraiment je ne le sens pas.

Je n’ai pas envie d’écrire, je n’ai pas envie d’apprendre, je n’ai pas envie d’appeler mes clients.


Et puis pourquoi je me suis lancée là-dedans, moi ? J’étais pas mieux avec mon CDI signé ?

… Peut-être que si j’appelle mon ancien patron, il acceptera de me reprendre… ?

De toute façon, je ne vais arriver à rien avec ça. C’est quoi son numéro, déjà ?

🛑 STOP ! 🛑

Repose ce téléphone, tout de suite.

Non, tu n’as pas vraiment envie de signer un autre CDI. Et tu le sais. Tu t’es lancée en tant que solopreneur ou solopreneuse, et ce n’est pas pour rien.

Faire marche arrière te desservirait, crois-en mon expérience.


Alors raccroche, fais-toi un chocolat chaud, et écoute-moi 5 minutes (enfin, lis-moi plutôt, mais tu m’avais comprise).

Ce que tu es en train d’expérimenter, c’est une perte de motivation entrepreneuriale. Doublée d’une petite baisse de moral. Mais rien de grave, ne t’en fais pas !

Je pourrai te dire d’aller te recoucher, que demain sera une meilleure journée. Mais tu es ici pour trouver des solutions concrètes et efficaces. Alors je vais t’en donner !

Les phases de démotivation sont normales quand on est entrepreneur

Perdre la motivation d’entreprendre : ça arrive à tout le monde !

À commencer par une petite certitude qui met du baume au cœur : ce qui t’arrive, ça nous arrive à tous. On a tous des journées où on a l’impression que rien ne fonctionne, et où on a envie de rien.

Souvent, c’est même l’occasion de s’autoflageller en se disant qu’on est vraiment une m*rde et qu’on y arrivera jamais !

Le tout, c’est de ne pas te laisser abattre et emporter par la spirale de la négativité. Parce que c’est exactement dans ces moments-là que l’on fait les mauvais choix.

Par exemple : rappeler ton ancien patron. C’est pire que d’envoyer un SMS à ton ex le soir du Nouvel An (si si, je t’assure).

Alors respire un coup, prends une boisson chaude, et applique ces petits conseils. Haut les cœurs !

Comment rester motivé au quotidien ?

Rester motivé tous les jours, c’est pas toujours simple. La motivation va et vient en fonction des jours, de la météo et des humeurs. Le tout, c’est de savoir la gérer. Pour ça, voilà quelques petites solutions efficaces.

Prévoir petit pour viser plus grand

Si tu sens que tu as la démotivation facile, commence par revoir tes objectifs. Si tu ne les as pas encore déterminés, c’est le moment où jamais.

Déjà, dans ta liste d’objectifs tu peux enlever ceux du genre « Être le premier sur mon mot clé principal », ou « Tripler mon chiffre d’affaires en 3 mois », ou encore « Réussir la cuisson d’un soufflé du premier coup ».

« Pourquoi ? » me demandes-tu ? Parce qu’ils sont pragmatiquement irréalisables (je te jure, la cuisson des cannelés c’est un véritable fléau).

Pour donner un coup de pouce à ta motivation, fixe des objectifs réalisables. Mais attention ! Qui dit réalisable ne dit pas forcément petit. Ils peuvent être réalisables et ambitieux.

Pour ce faire, il faut que tu fasses une liste des ressources dont tu disposes : le temps, les moyens et les personnes qui t’entourent. Liste les objectifs qui se trouvent dans ton champ des possibles.

Le petit + :

Je reviens sur les personnes qui t’entourent : on ne s’en rend pas toujours compte, mais nos proches jouent beaucoup sur notre motivation. Essaie de trouver des collègues qui te tirent vers le summum de l’énergie !

S'organiser pour rester motivé et motivée

Ne pas mettre la charrue avant les bœufs

Toujours sur les objectifs que tu te fixes, un conseil super utile : ne ratisse pas trop large. Tes objectifs doivent être clairs, précis. Et surtout, ça ne sert à rien de déterminer un super gros objectif.

Il est préférable de le découper en plein de petits objectifs, que tu pourras réaliser au fil des jours.


Par exemple, si tu veux référencer ton site sur Internet. Tu ne vas pas te fixer « Être premier sur Google ». Trop compliqué, trop abstrait, trop technique : c’est le découragement assuré.

Par contre, tu peux le découper en plusieurs phases :

Comme ça, tu auras la sensation de mieux avancer en cochant tes objectifs au fur et à mesure. Sans oublier que ça te donne une ligne directrice très précise.

Célébrer toutes les victoires (oui, même les plus petites)

Et d’ailleurs, découper tes objectifs a un autre avantage : tu peux les cocher à chaque fois que tu en réalises un. Or, il n’y a rien de plus jouissif que de cocher sa to-do list au fur et à mesure !

À chaque petite croix que tu mets, chaque ligne que tu barres, c’est ton estime de toi qui augmente d’un cran. Et l’autorécompense, c’est super important. Ça aide à rester concentré sur une finalité, et à se motiver palier par palier.

Garder confiance en soi et célébrer les victoires

Ne pas se laisser abattre

Tu galères à remplir ton objectif du jour ? Ce n’est pas grave.

Tu dois reprendre toute une tâche parce que ton client n’est pas content ? Relativise : c’est l’occasion d’apprendre à mieux faire.

Quand on travaille en tant que solopreneur, on rencontre souvent des situations pas toujours très agréables. Le tout, c’est de savoir tirer une part de positif de ce qui t’arrive. Au lieu de te focus sur le négatif, essaie de faire le travail mental suivant :

J’ai perdu ça. Mais ça m’apporte ça.

Par exemple :

J’ai perdu un contrat client. Mais ça me laisse plus de temps pour parfaire mon site internet.

Ou encore :

J’ai perdu ma motivation. Mais ça m’a mené sur ce super article qui me donne des conseils incroyables.

Tu vois ? Ça marche déjà !

Considérer le toi d’hier

Quand on bosse seul, on a tendance à se comparer aux collègues de l’espace de coworking. Ou aux influenceurs de notre secteur d’activité, qui ont l’air d’avoir tout compris. Et il n’y a rien de pire que se comparer à quelqu’un d’autre !

Tout simplement parce que toi et cette personne, vous n’en êtes pas forcément au même stade de développement de votre activité.

Ou vous n’avez pas la même manière de faire.

Ni la même personnalité.

Ni les mêmes priorités.

Alors au lieu de te placer en comparaison des autres, compare-toi à la personne que tu étais hier, il y a 1 mois, 1 an… Tu verras le chemin que tu as fait. Tout ce que tu as appris. Et à quel point tu es plus expérimentée.

Le petit + :

Ton mantra du jour : s’inspirer des autres, oui. Se comparer, NOPE !

Te remonter le moral quand tu en as besoin

Enfin et surtout : prends conscience de tes baisses de moral. Comme je te l’ai dit, ça arrive aux meilleurs d’entre nous. Alors prends-toi par la main, et emmène-toi prendre un bon bain chaud.

C’est un signal essentiel qui t’invite à te ressourcer, te recentrer sur toi, pour mieux repartir une fois les niveaux d’énergie au top !

Détends-toi un peu, et n’hésite pas à tester les phrases positives. C’est important de ne pas prendre ces petits coups de mou à la légère : ça veut dire que tu as besoin de réconfort. Et parfois, la personne la mieux placée pour t’apporter une dose de sérénité, c’est toi-même.

Énonce des phrases positives à voix haute, en complimentant la personne que tu es. Si tu ne trouves pas l’inspiration, tu peux rester sur des phrases simples, mais qui te touchent. Par exemple :

J’ai quelque chose à dire.

Je mérite le meilleur que je peux m’apporter.

Je suis créative.

Je suis motivée.

Je suis drôle.

Mon entreprise est une bonne idée.

Prendre soin de soi en tant que personne, c’est acquérir une meilleure personnalité de solopreneur.

Pas facile de garder la motivation quand on est entrepreneur !

Comment garder sa motivation entrepreneuriale ?

En tant qu’entrepreneur, être toujours motivé est très compliqué (même en tant qu’être humain d’ailleurs). Je vais être crue : c’est même impossible. Ceux qui ont l’air de ne jamais perdre la niaque, c’est du mensonge.

Ou de l’illusion.

Ou de l’hypocrisie, au choix.

Alors si tu sens que tu es sujet aux baisses de motivation, adopte ces quelques petits tips ! Simples à intégrer dans les journées, ils peuvent parfois transformer ton quotidien. Et dans tous les cas, je reste à ta disposition pour te donner des conseils sur mesure à ta motivation !

Comment définir un ton de communication pour ton entreprise ?

Au cours de tes longues heures passées sur Internet, tu as pu observer que certains sites marquent plus que d’autres. Je ne te parle pas forcément ici du visuel ou des jolies images choisies, mais plutôt du ton employé.

Pilier essentiel de la réussite d’un site Internet, le ton en communication mérite toute notre attention (et comme le dit Phœbe dans la série Friends : si ça rime, c’est que c’est vrai !).

Qu’est-ce que le ton de communication ? Et pourquoi est-ce si important de prendre le bon ton ? Focus sur cet élément incontournable de la communication.

Le ton de communication, un des éléments d’une image de marque sur le web.

Qu’est-ce que le ton en communication ?

Le ton de communication est un terme un peu fourre-tout, que l’on ne maîtrise pas toujours.

À l’échelle d’une entreprise, le concept est assez simple. De la même manière qu’à l’oral, le ton que tu emploies correspond à la façon dont tu t’adresses à tes clients en tant que marque.

Le ton fait ainsi partie d’un tout : le discours de marque, qui se compose du message (le fond) et du ton (la forme). Cela signifie donc que lorsque tu souhaites communiquer quelque chose, il faut que 50% de ton attention soit tournée vers le fond, et 50% vers la forme. 

Percutant, formel ou complètement décalé :  le ton a une importance cruciale pour la communication de ta marque. Sur les réseaux sociaux, sur ton site, dans tes newsletters… . Pourquoi faut-il prendre le temps de choisir le bon ton ? 

Pourquoi prendre le temps de définir le style de communication de ton entreprise ?

De manière générale, les marques ont tendance à négliger la forme qu’elles emploient pour faire passer leur message. Elles se contentent de donner les informations telles qu’elles les conçoivent.

Or, ce schéma de pensée mène souvent à une communication ratée. Un message trop publicitaire ou offensant, une mise en scène gênante, un manque de clarté… À trop se concentrer sur le fond, on oublie que la forme est toute aussi importante. 

Par exemple, imaginons que l’un de tes produits phares ne soit plus disponible :

Les deux options véhiculent le même message : le produit n’est plus disponible à la vente pour le moment.


Cependant, dans le premier cas, tes clients et clientes sont face à une déclaration négative, et très pragmatique. Ils comprennent le fond, mais peuvent également en conclure que tu gères mal tes stocks. Et qu’ils risquent de ne pas voir le produit revenir de sitôt.

Dans le deuxième cas, tu annonces l’indisponibilité du produit mais avec beaucoup plus de délicatesse. Tes clients et clientes voient alors que le produit est très demandé, et que tu fais ce que tu peux pour le remettre en vente. Une interprétation qui donne encore plus envie de l’acheter, dès qu’il sera disponible à nouveau.

Tu vois la différence ? Même contenu, enveloppe différente.

Trouver le bon ton de ton entreprise revient à réussir tes communications. Et qui dit 100% de réussite dans la communication, dit 100% de fidélisation client

Maintenant que tu en sais plus, passons au concret : comment adopter le bon ton ?

Comment trouver le ton de communication de ton entreprise ?

Il n’y a pas de “bon ton” universel. Pour une raison assez simple : la bonne réponse dépend entièrement de ta marque

Trouver le bon ton implique donc de se poser les bonnes questions. C’est parti pour une petite liste !

À qui t’adresses-tu ?

La première qualité du ton de communication, c’est un ton qui s’adresse à la bonne personne. 

Si ton enfant fait le pitre à table, tu peux lui dire “Arrête de faire l’idiot !”. En revanche, si ton fournisseur fait des blagues pendant une réunion professionnelle, la même remarque risque de ne pas passer.

Trouver le ton de communication à l’échelle d’une entreprise, c’est définir avec précision à qui tu t’adresses. Est-ce que tu parles à des trentenaires ? À des adolescents à peine pubères ? À des jeunes parents ?

Il faut alors cibler ce qu’on appelle ta persona : ton client idéal. Celui pour lequel tu proposes tes produits.

De là, tu pourras savoir si tu peux tutoyer tes lecteurs, si tu dois les vouvoyer, utiliser un langage soutenu ou plutôt familier… Toutes ces caractéristiques forment le ton d’une communication. Avec les réponses adaptées, tu t’assures de viser juste.

D’ailleurs, tu peux peut-être tirer quelques conclusions sur les choix que j’ai fait pour ma propre communication, à travers le ton que j’emploie sur ce site et mes réseaux sociaux !

Le petit + :

Tu peux avoir différentes personas en fonction du canal sur lequel tu communiques. Par exemple, tu peux employer un ton plus familier sur les réseaux sociaux lors de tes publications quotidiennes. A contrario, tu pourras conserver un ton formel dans la présentation de tes produits sur ton site Internet si tu le souhaites.

Comment résumes-tu ton entreprise ?

Maintenant que tu sais à qui ton entreprise s’adresse, tu peux te demander comment tu veux communiquer. Dans une communication, il y a deux personnes : la personne qui donne l’information et celle qui la reçoit.

Tu connais maintenant tes personas, tu sais donc ce qu’elles veulent entendre. Mais ton entreprise, quelle image doit-elle véhiculer ?

Le ton employé dans les communications a un impact direct sur l'image de marque véhiculée. 

Tout, absolument tout a une importance dans le ton de ta communication. Et comme ce dernier est le moteur de ton image de marque, il est important d’établir une certaine cohérence.

Tu peux alors lister les adjectifs qui collent le mieux à l’identité de ton entreprise. Fun, fiable, confiante, humaine, écologique, professionnelle, pragmatique… À toi de cibler les qualificatifs qui conviennent le mieux. Ensuite, il ne reste plus qu’à adapter ton vocabulaire pour renvoyer la bonne impression.

Le petit +

Tu peux demander aux membres de ton équipe ou à ton entourage de décrire ton univers ou tes produits pour avoir des retours plus variés. Ensuite, il ne reste plus qu’à choisir ce qui est le plus en accord avec ta marque.

Des idées avec de la stratégie ça donne des résultats, sous forme de dessin
Ne jamais oublier ses objectifs, même pour définir son ton de communication.

Quel objectif poursuis-tu ?

Je t’ai dit plus haut qu’il était possible d’avoir différentes personas. Eh bien, il est également possible d’adopter plusieurs tons. Bien évidemment, il ne faut pas passer du coq à l’âne. Sauter d’un vocabulaire soutenu à un langage argotique n’est par exemple pas la meilleure solution. Imagine une discussion avec un potentiel client, qui commence par “Bonjour Monsieur” et qui se termine par “Ciao Fréro”... Tu vois le genre de malaise que cela peut créer ?

Cependant tu peux adopter un ton tantôt sérieux, tantôt familier. C’est d’ailleurs le cas lorsque tu changes de canal de communication, lorsque tu passes de ton site Internet à tes pages de réseaux sociaux, voire à des discussions par messages.

La raison est simple : le public auquel tu t’adresses n’est pas forcément dans le même état d’esprit. 

Sur les réseaux sociaux, 86% des internautes préfèrent que les marques fassent preuve d’honnêteté et d’authenticité. Tout simplement parce qu’ils sont sur ces plateformes pour se détendre, pas pour se concentrer sur la liste des caractéristiques de tes produits.

Au contraire, les internautes qui sont sur ton site Internet sont là pour se renseigner sur ce que tu proposes. Tu peux te permettre d’être plus “pragmatique”.

Le petit + :

Parfois, entre clients et amis il n’y a qu’un pas ! Peu importe l’objectif que poursuit ta communication, n’hésite pas à miser sur la proximité avec tes lecteurs. En donnant une sensation d’intimité, de relation privilégiée, tu marques des points.

Que font tes concurrents ?

On a beau dire : lorsque l’on tient un site Internet, ce qui compte c’est de se démarquer des autres. Et ça fonctionne aussi pour le ton ! 

Si tu emploies le même ton que tes concurrents directs, les internautes risquent de confondre vos deux entreprises. Et être confondu avec ses concurrents, il n’y a rien de pire.

Il est toujours utile de faire un petit tour sur le site de la concurrence. Tu peux noter le ton qu’ils emploient, les informations qu’ils donnent, et ce qui fonctionne auprès de tes clients cibles. Comme ça, tu pourras retenir les bonnes pratiques. Ou au contraire, celles à éviter.

Le petit + : 

Fais la liste des choses qui te différencient d’eux. Ça peut être un bon point de départ pour te démarquer de façon pro tout en respectant ton identité de marque.

Que veux-tu pour ton entreprise ?

Enfin, la toute dernière question que tu dois te poser pour définir le style de communication de ta marque : qu’est-ce que tu veux ? C’est une question importante, étant donné que c’est toi qui gères ton entreprise, et donc toute la partie communication.

Si tu choisis un ton qui ne te correspond pas ou qui ne te plaît pas, la communication va devenir un cauchemar au quotidien. Sauf que la communication, c’est essentiel. Il est préférable que ça ne devienne pas une torture pour toi.

Trouver le parfait juste milieu entre ce que tu veux et ce que tes personas préfèrent : c’est ça, le cocktail de réussite du ton de communication.

Le petit + :

Si tu ne te sens plus aligné avec le ton de ta communication, reprends tout le processus pour le définir à nouveau. Ce sera non seulement plus confortable pour toi, mais aussi plus efficace pour ton business.

Les différents tons en entreprise : lequel choisir ?

Il existe une infinité de tons de communication que tu peux employer pour ta marque. Que tu sois plutôt formel, plutôt fun, familier ou très sérieux, il y a un style de communication que tu dois à tout prix éviter : le type ennuyeux.

Il n’y a rien de pire que de piquer du nez en lisant un article de blog. Peu importe l’objectif de ta communication, assure-toi toujours d’avoir quelque chose d’intéressant à dire. Ou, à défaut, de le dire de manière intéressante.

L’ennui pousse inévitablement les internautes à se rendre sur le site concurrent. Et avec un temps d’attention moyen de 8 secondes sur Internet, il ne faut pas longtemps pour perdre des lecteurs !

Autant de tons de communication que d'entreprises.

Comment instaurer un ton de communication ?

Tu as maintenant défini le style de communication de ton entreprise. Toutes mes félicitations, c’est le premier pas vers la réussite !

Maintenant, comment le mettre en place dans tes communications ? Voici quelques étapes à suivre pour instaurer le ton de communication de ton entreprise :

Et maintenant ? 
Prends le temps de répondre à toutes les questions que tu dois te poser, cible ton audience, et mets en place le ton en communication de ton entreprise !